Merci de ne PAS poster de messages concernant la vente d'un organe et comportant des coordonnées téléphoniques, e-mail, etc. La loi française interdit la vente d'organes.

Chine : les pratiquants du Falun Gong : une source d’organes bon marché pour le marché noir

Les organes d'un pratiquant torturé à mort ont été excisés. Liu Yufeng, pratiquant de Falun Gong battu à mort. Photo : www.clearwisdom.net


"Ces dernières années, les marchés internationaux ont connu une pénurie extrême de vente et d’achat d’organes. En tant que pays le plus peuplé du monde appliquant la peine de mort, la Chine s’est mis à utiliser des injections mortelles pour que les organes des personnes exécutées ne puissent pas être donnés aux hôpitaux pour des transplantation d’organes.

Comme le trafic illégal d’organes de la Chine a été exposé internationalement, le Congrès des États-Unis a tenu de nombreuses audiences. La société internationale a demandé au Parti communiste chinois (PCC) qu’il suive la loi de 'l’utilisation des organes de la personne morte ou exécutée' de 1990. Cette loi stipule que les organes du criminel ne peuvent être obtenus que si la personne ou les parents de la personne ont donné la permission, ou si la dépouille n’est pas réclamée".

"Le prix des organes est élevé depuis de longues périodes de temps dû au manque de voies par lesquelles on peut obtenir des organes humains. Depuis que le PCC a ordonné au bureau 610, une branche spéciale établie pour persécuter les pratiquants du Falun Gong, de 'tuer les pratiquants du Falun Gong et de les considérer comme mort de suicide' et de 'ruiner leur réputation, les ruiner financièrement et les détruire physiquement' [paroles de Jiang Zemin, ancien chef d’État] les organes des pratiquants du Falun Gong qui ont été torturés à mort sont devenus une source de marchandise bon marché pour ce marché noir.

Les médecins et les vendeurs impliqués ont été dupés

Un connaisseur dans ce trafic a dit à La Grande Époque que les médecins et les trafiquants impliqués dans la vente d’organes de pratiquants avaient été informé que les organes provenaient de pratiquants de Falun Gong qui étaient 'morts d’une folie développée par la pratique' ou 'sont devenus malfaisants après avoir pratiqué, ont assassiné d’autres personnes et ont donc été condamnés à mort et tués par balle par les autorités'. Cela explique que les parties impliquées n’ont jamais trouvé de problème à cela et n’avaient pas non plus d’éthique à ce sujet. Parce que le camp de concentration de Sujiatun vend les organes à bas prix, les représentants internationaux du trafic d’organes essayent de trouver des moyens pour contacter et passer des marchés avec Sujiatun. Des Chinois d’outre-mer contactent eux aussi leur famille dans la ville de Shenyang dans l’espoir d’acheter un rein bon marché du camp de Sujiatun.

Certains travailleurs dans des hôpitaux et des systèmes de santé privés savent qu’il est possible d’acheter des organes de pratiquants du Falun Gong provenant du camp de concentration de Sujiatun, où les organes humains n’ont pas de traces d’injections mortelles. Un témoin oculaire prétend que les habitants du district de Sujiatun considèrent ce sujet [acheter des organes] tabou et sont très prudents. La personne moyenne là-bas ne soulèverait pas ce sujet.

Le four crématoire en pierre produit souvent de la fumée blanche

Le camp de concentration de Sujiatun est caché en étant entouré de beaucoup d’arbres. Un témoin oculaire a dit : 'Maintenant, certaines routes dans la ville de Shenyang sont bloquées et les véhicules n’ont pas le droit de passer. Il y a des barrages sur les routes semblables à ceux sur la route de Sujiatun. Une voiture quelconque n’a aucun moyen d’approcher le camp. Dans le but d’éviter la suspicion et les problèmes, nous sommes montés dans un camion qui transportait du charbon pour approcher de plus près le camp de concentration. Nous avons vu le crématorium du camp émettre de la fumée blanche. Personne n’était dans la zone et l’ambiance était très effrayante. Un habitant local m’a dit que chaque fois qu’on passait près de là, on voyait toujours de la fumée sortir du crématorium.'

Les dépouilles des prisonniers incinérés immédiatement après que les organes soient enlevés

Dans le passé, les médias internationaux ont révélé à la société internationale le vol secret d’organes humains en Chine. Les juges et les médecins du Bureau public de sécurité qui violaient la loi ont conspiré pour voler les organes des morts pour des transplantations et d’importants profits.

Souvent, les criminels chinois ne sont pas autorisés à contacter leur famille donc personne ne va réclamer le corps après l’exécution. De cette façon, les organes peuvent être enlevés et la dépouille rapidement incinérée. Le PCC requiert du personnel médical impliqué qu’il accomplisse les opérations chirurgicales secrètement et que leur véhicule d’opération ne puissent avoir aucun logo de l’hôpital. On interdit aussi aux médecins de porter des vêtements chirurgicaux sur les lieux d’exécution. De plus, des gardiens de sécurité surveillent leurs interventions de prélèvement d’organes et incinèrent le corps immédiatement après.

Le camp de Sujiatun est vraiment bondé mais le nombre de sa population est gardée secrète

En ce moment, Shenyang a de nombreux corps d’usines et hôpitaux privés qui achètent des organes humains pour les revendre sur le marché international. Le camp de concentration de Sujiatun a vu passer plus de 6.000 pratiquants du Falun Gong et a rassemblé quelques médecins pour des opérations de prélèvement d’organes. Dans le but d’éliminer des preuves éventuelles, les corps sont incinérés.

Une personne qui a travaillé au camp de concentration a dit que la charge de travail augmentait tout le temps. Les autorités y transfèrent continuellement des pratiquants et la prison est bondée et pleine au-delà de l’imagination. C’est clairement un endroit où une personne ne peut pas vivre, et voir cet endroit est insoutenable.

Avant cette révélation, l’anatomiste allemand Gunther von Hagens a choqué le monde avec son exposition Body Worlds, dans lequel étaient exposés beaucoup de cadavres plastinés provoquant d’intenses condamnations de la part d’organisations défendant les droits de l’homme. Les médias ont révélé que beaucoup des corps plastinés de Gunther von Hagen étaient des prisonniers exécutés venant de la Chine. Gunther von Hagen a aussi admis avoir reçu un corps avec une blessure par balle à la tête.

La Chine a en ce moment le plus grand commerce d’organes de tous les pays. Des organes en état de fonctionnement sont vendus à des hôpitaux ou à des patients, et des corps que l’on pouvait utiliser ont été donnés à Gunther von Hagens et l’Institut de plastination pour être convertis en spécimens préservés et utilisés dans la tournée de l’exposition Body Worlds.

Des organes de pratiquants du Falun Gong morts sont 'manquants'

Au milieu du mois de juin dernier, d’après un rapport fourni par des pratiquants du Falun Gong, des organes de pratiquants torturés à mort pendant leur emprisonnement ont été volés pour être transplantés.

D’après une investigation des familles, des trous sanglants et des marques de couteau ont été trouvés sur des corps de pratiquants du Falun Gong torturés à mort. Certains ont été autopsiés sans la permission des membres de leur famille et certains organes des victimes ont été excisés. Des informateurs ont révélé que des médecins du centre de désintoxication dans le district de Baiyun de la ville de Guangzhou ont ouvertement 'ordonné' à des bourreaux qui torturent les pratiquants du Falun Gong : 'ne les battez pas [sur la] taille, les reins peuvent être utilisés'.

Le 16 février 2001, Ren Pengwu, un homme de 33 ans pratiquant du Falun Gong à Harbin, a été arrêté pour avoir envoyé des documents révélant des contradictions dans l’affaire de l’auto-immolation. Il a été détenu au second centre de détention dans le canton de Hulan, province de Heilongjiang. Cinq jours après, au matin du 21 février, il est mort. Sans l’accord de sa famille, sous la guise de jugement légal, la police a excisé tous les organes du corps de Ren Pengqu, de l’œsophage aux organes génitaux avant d’incinérer le corps.

Yang Ruiyu était une femme employée du Bureau de gestion de la propriété du district de Taijiang dans la ville de Fuzhou. Le 19 juillet 2001, elle a été enlevée à son lieu de travail par le personnel de la sécurité publique. Elle est morte trois jours plus tard d’abus lors de la détention. Le corps a été envoyé sous escorte policière jusqu’au crématorium. Son mari et à sa fille ont eu l’interdiction de s’approcher du corps. D’après des témoins, il y avait un trou creux d’à peu près la taille d’un poing sur le corps de Yuang Ruiyu.

Le site Internet de Falun Gong vraiesagesse.net a appelé à la communauté internationale de prêter urgemment attention aux cas de vols d’organes de pratiquants du Falun Gong chinois. Il a aussi appelé aux parents des victimes et aux personnes dévouées au sein de la justice de conserver l’archivage de toutes les preuves d’individus et d’organisations impliqués dans ces crimes pour des procès futurs."

Source :
© 2005 - 2006 La Grande Époque/Epoch Times
Article de Ji Da
La Grande Époque

2 commentaires:

bobby fletcher a dit…

I found out that we have a consulate near Sujiatun in Shenyang. So I called them and asked them about this allegation.

They categorically deny it. If you don't believe me you can call them yoursleves.

Be sure to let them know you are an US citizen, and you wish to speak to an American officer in US Citizen's Services. Here's their phone number:

(86-24) 2322-1198

Foreign consulates have the responsiblity to provide services to its citizens, including economic, cultural, local news and events, provide advise on traveling.

They reassured me there is no concentration camp in Sujiatun, and it would be safe for US citizens to travel to that part of China.

I would recommend that you call them, they will give you a satisfactory answer.

Robert Elart Waters a dit…

Sunday service has been at my blog, too. He seems to be running all over the internet defending a regime that has murdered seventy seven million of its own people on the ground that there is no evidence that they might be murdering more of them at Sunjiatun. He seems unimpressed by the fact that a consul who, when asked by one of his nationals, gave the report any credence would be promptly expelled from the country, and that the diplomatic consequences of seeming to do so would be something any government would want to avoid without absolute proof.

And absolute proof is hard to come by in a police state.

BTW, Sunday service is not a Christian, though he seems to want to leave that impression. He is apparently an American who visited a congregation of the State-controlled Three Self Movement (the psuedo-Protestant mock church, which the government controls down to the sermons preached there). He claims that there is religious freedom in China, and at the same time defends the laws against religous instruction of people under 16 and the imprisonment and commitment to "re-education camps" of ministers and church leaders who refuse to take their orders from Beijing.

My experience with him is that the more he posts, the more he discredits himself. I personally banned him because he won't read rebuttals, won't engage in good-faith dialog, and was turning my blog into a means of propaganda for literally the most murderous regime in recorded history.

Oh. And he has so little sense of history that he actually believes that the genocide of the American Indians- horrific as it was- somehow makes America worse than a regime that has murdered seventy seven million of its own people as a matter of state policy. That is nearly as incredible as his refusal to see that such a track record itself automatically puts
any regime under suspicion when allegations such as the ones about Sujiatun arise.

Oh, BTW... the latest information from Chinese dissidents (some of whom, remember, claim to be eye witnesses- though from Sunday's point of view eye witness testimony isn't evidence)is that the prisoners at Sujiatun are being sent to other, smaller camps throughout China. Look for the camp to be opened for public inspection just as soon as the relocation is completed.